L’empreinte écologique globale liée au numérique a dépassé celle du transport aérien et elle croit de manière exponentielle. Il faut donc également se saisir de cet enjeu pour limiter notre empreinte individuelle et favoriser des comportements plus durables.
COMMENT FAIRE?
Tout d’abord, les terminaux numériques ont une empreinte écologique sans rapport avec leur petite taille et leur faible poids, notamment parce qu’ils nécessitent des métaux rares dont les processus d’extraction et de transformation sont très énergivores. Il est donc nécessaire de limiter le nombre de terminaux (ordinateurs, tablettes, téléphones…) à sa disposition et les conserver le plus longtemps possible.
L’autre dimension importante de l’empreinte numérique est liée au stockage et au flux de données. Il convient donc d’éviter de stocker de grandes quantités de données, pas toujours très utiles, notamment à distance (« cloud« ) et de limiter les flux, ce qui en première approximation revient à réduire sa consommation de vidéo en ligne (« streaming« ).
Un rapport du Shift Project (en français) permet de se documenter plus en profondeur sur le sujet.